COSMOS 1999 : Launchpad
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COSMOS 1999 : Launchpad
Cette année, les Gentlemen Collectionneurs présenteront un thème sur la blancheur. Ca n'a rien à voir du tout avec une marque de lessive, mais nous avons trouvé que ce terme collait vraiment très au 2 sujets abordés : 2001 l'odyssée de l'Espace, et Cosmos 1999.
Ce monument cinématographique et cette série culte présentent des designs finalement très proches (le premier ayant fortement inspiré le second) et avec une même palette de couleur assez binaire (du blanc pour les engins et du gris/noir pour le reste !).
Bref, des 2 sujets, j'ai surtout pris celui de Cosmos, qui me tient à coeur, car il m'a marqué dès sa première diffusion en ... pfff, c'était il y a tant que ça !!!! C'était en noir et blanc à l'époque (ce qui ne gênait en rien sur ce coup là), et à l'époque chaque épisode me foutait bien les jetons.
L'aigle a toujours été pour moi le vrai héro de cette série, et, à mon sens, en demeure le seul élément indémodable, grace à son côté fonctionnel. Le reste de la série a franchement mal vieilli, en commencant par les scénarios (bien ancrés dans les seventies), et plus récemment par les effets spéciaux, avec l'avénement du numérique. Certains plans font encore illusion, dont les atterrissages et décollages des aigles depuis les plateformes d'atterrissage de la base lunaire Alpha.
Donc le premier diorama à réaliser s'est imposé de lui-même : le launchpad
http://www.space1999.net/catacombs/main/cguide/umlaunch.html
http://www.space1999.net/catacombs/main/images/space/tm/sptm0217.jpg
http://www.space1999.net/catacombs/main/images/space/molad/spmolad0130.jpg
Le kit en résine de la plateforme, qui constitue mon point de départ, est certainement l'un des tous derniers exemplaires du kit de James E Small ( http://www.smallartworks.ca/ ), acquis en seconde main un peu par hasard sur le web. Il est à l'échelle des aigles d'Airfix/AMT (kit injecté), de Warp (kit résine), ou des Products Enterprises (monté, métal et plastique).
Je tiens à remercier Alexandre Dumas ( http://scihighmodels.com/ ) pour l'aide et le support qu'il m'a apporté sur les différents problèmes rencontrés sur ce kit, auquel il manquait la notice. Par son expérience sur ce kit, Alex m'a aidé notamment dans l'agencement de certaines pièces de la plateforme de service (la zone rectangulaire contigüe au disque) ainsi que sur des solutions pour mécaniser l'ascenceur.
Vu la taille des pièces, le volume de résine est plutôt conséquent, et le poids total doit bien dépasser les 4 kilos !
Manifestement, les moules sont fatigués car les pièces présentent de nombreuses imperfections, ainsi que quelques bulles. C'est pourquoi je pense qu'il s'agit d'un des derniers kits de Small.
Certaines pièces ont également souffert lors du transport, et plus particulièrement les quarts de rond : leurs côtés sont assez fins et ont du prendre un choc dans le voyage. Ca devrait se recoller facilement.
Je pense recouler un peu de résine le long des côtés pour la renforcer.
Il n'y a dans ce kit aucune pièce correspondant aux surfaces planes que sont la plateforme de service (un rectangle) et l'ascenceur lui-même (le "+" orange). Je ne sais si ces pièces auraient normalement du faire partie du kit, mais ici je vais donc utiliser de la carte plastique avec des renforts à base de baguettes alu (pour la légéreté) en U ou L pour s'assurer qu'elle ne ploient pas. Ca sera plus léger que la résine.
Le "+" sera peut être en bois (medium).
Par un montage à blanc, j'en déduis que les dimensions du bazar monté sont 90 x 110 cm.
J'ajoute 5 cm de marge de chaque côtés, et ca me donne les cotes du diorama, soit : 1m x 1,20m
Je verifie en modifiant un scan du plan de masse que la plateforme tiendra en diagonale sur cette même surface, afin de de casser les lignes et de donner plus de dynamisme.
Ca passe donc sans problème.
Ce seront donc également les cotes du hangar des aigles. Lui par contre, il ne suivra pas une diagonale et restera droit : http://artmoviefan-com.1fr1.net/t4678-cosmos-1999-hangar
Ce monument cinématographique et cette série culte présentent des designs finalement très proches (le premier ayant fortement inspiré le second) et avec une même palette de couleur assez binaire (du blanc pour les engins et du gris/noir pour le reste !).
Bref, des 2 sujets, j'ai surtout pris celui de Cosmos, qui me tient à coeur, car il m'a marqué dès sa première diffusion en ... pfff, c'était il y a tant que ça !!!! C'était en noir et blanc à l'époque (ce qui ne gênait en rien sur ce coup là), et à l'époque chaque épisode me foutait bien les jetons.
L'aigle a toujours été pour moi le vrai héro de cette série, et, à mon sens, en demeure le seul élément indémodable, grace à son côté fonctionnel. Le reste de la série a franchement mal vieilli, en commencant par les scénarios (bien ancrés dans les seventies), et plus récemment par les effets spéciaux, avec l'avénement du numérique. Certains plans font encore illusion, dont les atterrissages et décollages des aigles depuis les plateformes d'atterrissage de la base lunaire Alpha.
Donc le premier diorama à réaliser s'est imposé de lui-même : le launchpad
http://www.space1999.net/catacombs/main/cguide/umlaunch.html
http://www.space1999.net/catacombs/main/images/space/tm/sptm0217.jpg
http://www.space1999.net/catacombs/main/images/space/molad/spmolad0130.jpg
Le kit en résine de la plateforme, qui constitue mon point de départ, est certainement l'un des tous derniers exemplaires du kit de James E Small ( http://www.smallartworks.ca/ ), acquis en seconde main un peu par hasard sur le web. Il est à l'échelle des aigles d'Airfix/AMT (kit injecté), de Warp (kit résine), ou des Products Enterprises (monté, métal et plastique).
Je tiens à remercier Alexandre Dumas ( http://scihighmodels.com/ ) pour l'aide et le support qu'il m'a apporté sur les différents problèmes rencontrés sur ce kit, auquel il manquait la notice. Par son expérience sur ce kit, Alex m'a aidé notamment dans l'agencement de certaines pièces de la plateforme de service (la zone rectangulaire contigüe au disque) ainsi que sur des solutions pour mécaniser l'ascenceur.
Vu la taille des pièces, le volume de résine est plutôt conséquent, et le poids total doit bien dépasser les 4 kilos !
Manifestement, les moules sont fatigués car les pièces présentent de nombreuses imperfections, ainsi que quelques bulles. C'est pourquoi je pense qu'il s'agit d'un des derniers kits de Small.
Certaines pièces ont également souffert lors du transport, et plus particulièrement les quarts de rond : leurs côtés sont assez fins et ont du prendre un choc dans le voyage. Ca devrait se recoller facilement.
Je pense recouler un peu de résine le long des côtés pour la renforcer.
Il n'y a dans ce kit aucune pièce correspondant aux surfaces planes que sont la plateforme de service (un rectangle) et l'ascenceur lui-même (le "+" orange). Je ne sais si ces pièces auraient normalement du faire partie du kit, mais ici je vais donc utiliser de la carte plastique avec des renforts à base de baguettes alu (pour la légéreté) en U ou L pour s'assurer qu'elle ne ploient pas. Ca sera plus léger que la résine.
Le "+" sera peut être en bois (medium).
Par un montage à blanc, j'en déduis que les dimensions du bazar monté sont 90 x 110 cm.
J'ajoute 5 cm de marge de chaque côtés, et ca me donne les cotes du diorama, soit : 1m x 1,20m
Je verifie en modifiant un scan du plan de masse que la plateforme tiendra en diagonale sur cette même surface, afin de de casser les lignes et de donner plus de dynamisme.
Ca passe donc sans problème.
Ce seront donc également les cotes du hangar des aigles. Lui par contre, il ne suivra pas une diagonale et restera droit : http://artmoviefan-com.1fr1.net/t4678-cosmos-1999-hangar
Olcabour- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Tu veux pas faire un Lunchpad, c'est pour le déjeuner... ?
Non mais je savais pas quoi dire à part des "oh et des "ah" et des "vivement février...!"
Non mais je savais pas quoi dire à part des "oh et des "ah" et des "vivement février...!"
Youli- Modérateur
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Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Ça va être un régal cet expo sur ce thème,avec des pièces comme celles-ci !!! vivement la suite
petersteven-fondateur- Admin
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Re: COSMOS 1999 : Launchpad
C'est très original. Je ne connais pas du tout l'univers de Cosmos1999, j'ai hâte de voir ça.
Et sinon, tu seras déguisé en Mickael jackson ?
Et sinon, tu seras déguisé en Mickael jackson ?
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
TTu devrais remédier a ça Thomas !!! au moins la saison 1 , car la seconde est bof bof
petersteven-fondateur- Admin
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Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Voilà le résultat de la première journée passée sur le sujet, juste après réception des pièces en septembre. En effet, je n'avais pas resisté et je m'étais immédiatement attelé à la préparation des pièces du bâtiment d'accès :
- rebouchage rapide de bulles : le mastic est essuyé à l'acétone après 2 heures de sêchage. Ca sera très gros, donc pas la peine de fignoler de trop sur ces finitions (elles ne se verront pas !)
- d'autres bulles, ayant abîmées des détails, sont rebouchés avec des profilés volontairement pris dans une taille différent que la pièce initiale à reboucher : plutôt que de cherche à refaire le détail manquant, je détourne l'attention avec un détail différent.
- quelques défauts de moulage sont masqués avec de la carte plastique
-le bâtiment principal est monté rapidement. Je me suis aidé de profilés pvc en L comme équerres (des chutes récupérées lors de la pose de fenêtres en pvc). Un renfort en bois est ajouté à la base. Il en faudra certainement un second (je verrai ça plus tard). Les joints ne sont pas encore rebouchés non plus, ça attendra que le montage soit plus avancé.
La languette du côté arrière n'était volontairement pas collée, au cas où j'aurais à la modifier pour permettre le passage des fils électriques : alimentation de l'éclairage et, je l'espère, de la plateforme. Depuis, le sujet a évolué (explications à venir sous peu), et les fils passeront ailleurs.
- rebouchage rapide de bulles : le mastic est essuyé à l'acétone après 2 heures de sêchage. Ca sera très gros, donc pas la peine de fignoler de trop sur ces finitions (elles ne se verront pas !)
- d'autres bulles, ayant abîmées des détails, sont rebouchés avec des profilés volontairement pris dans une taille différent que la pièce initiale à reboucher : plutôt que de cherche à refaire le détail manquant, je détourne l'attention avec un détail différent.
- quelques défauts de moulage sont masqués avec de la carte plastique
-le bâtiment principal est monté rapidement. Je me suis aidé de profilés pvc en L comme équerres (des chutes récupérées lors de la pose de fenêtres en pvc). Un renfort en bois est ajouté à la base. Il en faudra certainement un second (je verrai ça plus tard). Les joints ne sont pas encore rebouchés non plus, ça attendra que le montage soit plus avancé.
La languette du côté arrière n'était volontairement pas collée, au cas où j'aurais à la modifier pour permettre le passage des fils électriques : alimentation de l'éclairage et, je l'espère, de la plateforme. Depuis, le sujet a évolué (explications à venir sous peu), et les fils passeront ailleurs.
Invité- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Youli a écrit:Tu veux pas faire un Lunchpad, c'est pour le déjeuner... ?
Non mais je savais pas quoi dire à part des "oh et des "ah" et des "vivement février...!"
Ca ferait plutôt galette dans ce cas (c'est bientôt de saison en plus).
J'ai peur que la fève soit un peu dure pour le coup !
petersteven a écrit:C'est très original. Je ne connais pas du tout l'univers de Cosmos1999, j'ai hâte de voir ça.
Et sinon, tu seras déguisé en Mickael jackson ?
Des fringues à paillettes, la coupe à la jackson five, et c'est parti pour un moonwalk en pattes d'eph
Riddick-AMF a écrit:TTu devrais remédier a ça Thomas !!! au moins la saison 1 , car la seconde est bof bof
Effectivement la saison 1 est de loin la meilleure des 2. Néanmoins, elle reste bien ancrée dans les années 70, et elle ne peut plus supporter la comparaison avec les séries actuelles. Je pense qu'on doit s'ennuyer un peu sans le côté nostalgique. La dernière fois que je l'ai regardé, j'avais tiqué sur des répliques que ne voulaient rien dire en français, ou arrivaient un peu comme un cheveu sur la soupe. En fait, c'est la traduction qui pêche, car en repassant le dialogue en anglais, la scène prenait quelques fois une sens très différent !
Thomas, tu nous diras ce que tu en penses avec ton oeil "innocent" sur le sujet
Invité- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Les petits dégats des quarts de plateforme sont réparés à la cyano. Les joints ne sont pas mastiqués pour pouvoir tranquillement couler un peu de résine le long du bord arrondi, à l'intérieur bien sûr, pour la renforcer.
Avant réparation
Après réparation
Epaisseur du bord arrondi avant coulage de résine :
Un peu de scotch de tapissier et 3 petites coulées ont suffit. En un peu plus d'une heure, la paroi arrondie est devenu suffisamment solide.
Alors que j'allais faire de même avec les 2 autres faces (celles formant l'angle droit) de la même pièce, je me suis apercu qu'il fallait en fait les supprimer ! En effet, il y a un décroché de 6 ou 7 millimètres sur lequel, s'il est statique, vient reposer le "+" orange.
Ce qui signifie également que je vais devoir recréer toutes les parois se révélant quand l'ascenceur glisse vers le bas.
Avant réparation
Après réparation
Epaisseur du bord arrondi avant coulage de résine :
Un peu de scotch de tapissier et 3 petites coulées ont suffit. En un peu plus d'une heure, la paroi arrondie est devenu suffisamment solide.
Alors que j'allais faire de même avec les 2 autres faces (celles formant l'angle droit) de la même pièce, je me suis apercu qu'il fallait en fait les supprimer ! En effet, il y a un décroché de 6 ou 7 millimètres sur lequel, s'il est statique, vient reposer le "+" orange.
Ce qui signifie également que je vais devoir recréer toutes les parois se révélant quand l'ascenceur glisse vers le bas.
Invité- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Mécanisation de l'ascenceur
Je voulais absolument mécaniser la plateforme (un vieux rêve de gamin) et n'arrivais pas à trouver une solutions facile, qui ne m'obligeait pas à devenir un apprenti électronicien.
Sur les conseils avisés d'Alexandre Dumas, j'ai fait l'acquision d'un petit support élévateur de laboration (labjack).
http://www.crscientific.com/labjacks.html
Le débattement minimal du support est de 6,5cm (le max est à + de 30cm) et comme la plateforme mesure ~5,5 cm de haut, si je veux avoir une course de 10 cm pour l'ascenceur orange, le dio devra donc reposer sur un caisson de 11 cm de hauteur minimum.
Le plateau supérieur du labjack est simplement fixé avec des visses, donc je pourrai l'enlever et directement le remplacer par des profilés alu en L (ces profilés seront les renforts de l'ascenceur orange).
Même chose pour les patins (ils sont vissés), le support pourra donc être fixé facilement sur une planche à l'intérieur du caisson.
Petit test de mise en situation
Conclusion, ca va le faire, mais le dio prend au passage une bonne quinzaine de cm d'épaisseur !
Reste à régler le problème de la motorisation de la plateforme, qui se limite maintenant à la motorisation du labjack, et donc de sa molette centrale.
Après avoir de nouveau chercher pendant quelques temps du côté de l'électronique, avec des moteurs pas à pas par exemple, Jean-Marc est arrivé à la rescousse (tel Zorro sur son grand destrier noir :-D ) avec une solution toute bête : une visseuse avec une rallonge d'extension flexible pour mandrin.
http://www.amazon.fr/Rallonge-Flexible-Perceuse-Mandrin-Automatique/dp/B003G5W4GY/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1323556802&sr=8-1
Un dernier détail reste à régler : mettre en place des butées dans ce mécanisme pour éviter que le plateau ne dépasse le haut de la plateforme, sans abimer cette dernière au passage, et toujours sans devoir jouer à l'électronicien.
L'idée étant de bloquer le mécanisme juste le temps de retirer le doigt de la gachette de la visseuse.
Pour l'instant, je ne vois que deux solutions :
- un tube de métal dans le quel s'enficherait la visse centrale et bloquerai les montants ciseaux du labjack
- trouer la visse centrale pour y insérer une butée
Je voulais absolument mécaniser la plateforme (un vieux rêve de gamin) et n'arrivais pas à trouver une solutions facile, qui ne m'obligeait pas à devenir un apprenti électronicien.
Sur les conseils avisés d'Alexandre Dumas, j'ai fait l'acquision d'un petit support élévateur de laboration (labjack).
http://www.crscientific.com/labjacks.html
Le débattement minimal du support est de 6,5cm (le max est à + de 30cm) et comme la plateforme mesure ~5,5 cm de haut, si je veux avoir une course de 10 cm pour l'ascenceur orange, le dio devra donc reposer sur un caisson de 11 cm de hauteur minimum.
Le plateau supérieur du labjack est simplement fixé avec des visses, donc je pourrai l'enlever et directement le remplacer par des profilés alu en L (ces profilés seront les renforts de l'ascenceur orange).
Même chose pour les patins (ils sont vissés), le support pourra donc être fixé facilement sur une planche à l'intérieur du caisson.
Petit test de mise en situation
Conclusion, ca va le faire, mais le dio prend au passage une bonne quinzaine de cm d'épaisseur !
Reste à régler le problème de la motorisation de la plateforme, qui se limite maintenant à la motorisation du labjack, et donc de sa molette centrale.
Après avoir de nouveau chercher pendant quelques temps du côté de l'électronique, avec des moteurs pas à pas par exemple, Jean-Marc est arrivé à la rescousse (tel Zorro sur son grand destrier noir :-D ) avec une solution toute bête : une visseuse avec une rallonge d'extension flexible pour mandrin.
http://www.amazon.fr/Rallonge-Flexible-Perceuse-Mandrin-Automatique/dp/B003G5W4GY/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1323556802&sr=8-1
Un dernier détail reste à régler : mettre en place des butées dans ce mécanisme pour éviter que le plateau ne dépasse le haut de la plateforme, sans abimer cette dernière au passage, et toujours sans devoir jouer à l'électronicien.
L'idée étant de bloquer le mécanisme juste le temps de retirer le doigt de la gachette de la visseuse.
Pour l'instant, je ne vois que deux solutions :
- un tube de métal dans le quel s'enficherait la visse centrale et bloquerai les montants ciseaux du labjack
- trouer la visse centrale pour y insérer une butée
Invité- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Pour ton système de levage, je ne sais pas si cela aurait vraiment fonctionner mais tu aurais pu le faire avec des systèmes hydrauliques avec des grosses seringues... J'ai déjà fait pas mal de trucs avec ce systémique et ça marche vraiment bien..... En plus, c'est pas très cher.....
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Super l"idée du petit support élévateur de laboration (labjack) mais il faudra peut être un peu l'excentrer du centre du X de la plateforme orange qui est en forme de croix,et trouver le centre de gravité idéal pour une stabilité optimale.
Tu peux simplement détourner l"alimentation de la gâchette de la visseuse ( bloquée sur vitesse lente ) sur de simples interrupteurs dans un petit panneau de contrôle au look Alphan sur un coté du caisson de ton dio.Un dernier détail reste à régler : mettre en place des butées dans ce mécanisme pour éviter que le plateau ne dépasse le haut de la plateforme, sans abimer cette dernière au passage, et toujours sans devoir jouer à l'électronicien.
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Re: COSMOS 1999 : Launchpad
philigore a écrit:Pour ton système de levage, je ne sais pas si cela aurait vraiment fonctionner mais tu aurais pu le faire avec des systèmes hydrauliques avec des grosses seringues... J'ai déjà fait pas mal de trucs avec ce systémique et ça marche vraiment bien..... En plus, c'est pas très cher.....
Il est maintenant trop tard pour que je change mes plans.
Néanmoins, pour d'autres projets, je serais preneur d'une petite explication de texte. Je comprends bien que les seringues servent de piston, mais comment les actionner ?
Argl ! Bien vu de me rappeler cette contrainte physique de base.....DV a écrit:Super l"idée du petit support élévateur de laboration (labjack) mais il faudra peut être un peu l'excentrer du centre du X de la plateforme orange qui est en forme de croix,et trouver le centre de gravité idéal pour une stabilité optimale.
J'avais tout simplement oublié ce petit "detail". Merci du tuyau
Pourquoi pas pour le coté esthétique du mecanisme, et si j'ai le temps.Tu peux simplement détourner l"alimentation de la gâchette de la visseuse ( bloquée sur vitesse lente ) sur de simples interrupteurs dans un petit panneau de contrôle au look Alphan sur un coté du caisson de ton dio.
Mais mon pb reste entier : stopper physiquement le mécanisme, le temps de le stopper électriquement.
Ceci dit, je me fais peut être des noeuds au cerveau car si le mécanisme s'avère suffisamment lent, il faudra juste être vigilant, et je peu zapper les butées. J'aurai la réponse sous peu, car je devrai recevoir le flexible d'extension bientôt.
Invité- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Montage du caisson
Comme pour le hangar, les planches ont été découpées sur mesure. Le caisson est rapidement construit. Les côtés tiennent entre eux à l'aide d'équerre en bois, le sol reposant dans les coins sur ces mêmes équerre, et par des tasseaux sur les côtés. La planche que l'on aperçoit dans le fond du caisson servira de support au labjack.
L'emplacement de la plateforme est dessinée pour évider la zone intérieure, afin de faciliter plus tard la mise en place des pièces et permettre à l'ascenceur de descendre.
Comme pour le hangar, les planches ont été découpées sur mesure. Le caisson est rapidement construit. Les côtés tiennent entre eux à l'aide d'équerre en bois, le sol reposant dans les coins sur ces mêmes équerre, et par des tasseaux sur les côtés. La planche que l'on aperçoit dans le fond du caisson servira de support au labjack.
L'emplacement de la plateforme est dessinée pour évider la zone intérieure, afin de faciliter plus tard la mise en place des pièces et permettre à l'ascenceur de descendre.
Invité- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
L'emplacement de la plateforme est évidé pour permettre d'y accéder par dessous pour l'installation de l'éclairage et du mécanisme de l'ascenceur.
En créant le caisson, je n'avais pas pensé au décor du sol lunaire lunaire, que je compte réaliser avec des plaques d'isolant polystyrène mises en forme et recouvert de terre à décor grise. Du coup, je me suis aperçu qu'il me fallait surélever la plateforme pour me donner un peu de marge dans la profondeur.
C'est assez facile pour les pièces droites, par contre j'ai du réaliser un disque de medium d'1 cm d'épaisseur, et évider l'intérieur pour, à nouveau, avoir accès à l'intérieur.
Voilà un joli frisbee !!
Les petites langues serviront de support pour les cales des quarts de rond.
Un conséquence agréable, c'est que je vais pouvoir travailler plus facilement sur la galette du launchpad, pour la coller puis pour s'occuper des joints.
Les faces courbes des éléments de la galette sont nettoyés : poncage, élimination des défauts, rebouchage des bulles. Quand il y en a beaucoup, je cherche à cacher par de nouveaux détails avec des languettes de carte plastique.
Reboucher les bulles dans les coins est un sport qui peut prendre énormément de temps, et moultes tentatives infructeuses si on s'échine à utiliser du mastic. J'utilise un truc super simple, et qui fonctionne en général du premier coup : j'enfonce une tige de plastique du bon diamètre dans le trou, avec une goutte de superglue. 30 min plus tard, je coupe la tige avec une pince coupante (le cutter est à éviter car il provoque une torsion qui peut faire décoller la tige) et je ponce ce qui dépasse.
Une caractéristique du launchpad est d'avoir toute une série de feux de signalisation blanc entourant la rampe élévatrice orange.
Pour permettre le passage de fibre optique ou de LED de 3mm de diamètre, je perce donc les 43 (!!!) trous à la perceuse, d'abord avec un forêt de 2mm puis ils sont élargis avec du 3mm.
Ici un test avec de la fibre optique 3mm
Un trou trop large (j'avais dérapé) est rattrapé avec de la cyano et de la poussière de résine récupérée sur le plan de travail.
Il faut poncer rapidement derrière dès que c'est sec, car quand ce mélange a totalement durci, c'est très difficile à poncer correctement.
Avant de coller la galette, je dois trouver et préparer l'installation électrique des feux de signalisation de la rampe.
En attendant, je nettoie les pièces que je n'avais pas encore touché (rebouchage de bulles, etc.) :
- la plateforme de service
- l'extension du batiment principal et le couloir d'accès.
En créant le caisson, je n'avais pas pensé au décor du sol lunaire lunaire, que je compte réaliser avec des plaques d'isolant polystyrène mises en forme et recouvert de terre à décor grise. Du coup, je me suis aperçu qu'il me fallait surélever la plateforme pour me donner un peu de marge dans la profondeur.
C'est assez facile pour les pièces droites, par contre j'ai du réaliser un disque de medium d'1 cm d'épaisseur, et évider l'intérieur pour, à nouveau, avoir accès à l'intérieur.
Voilà un joli frisbee !!
Les petites langues serviront de support pour les cales des quarts de rond.
Un conséquence agréable, c'est que je vais pouvoir travailler plus facilement sur la galette du launchpad, pour la coller puis pour s'occuper des joints.
Les faces courbes des éléments de la galette sont nettoyés : poncage, élimination des défauts, rebouchage des bulles. Quand il y en a beaucoup, je cherche à cacher par de nouveaux détails avec des languettes de carte plastique.
Reboucher les bulles dans les coins est un sport qui peut prendre énormément de temps, et moultes tentatives infructeuses si on s'échine à utiliser du mastic. J'utilise un truc super simple, et qui fonctionne en général du premier coup : j'enfonce une tige de plastique du bon diamètre dans le trou, avec une goutte de superglue. 30 min plus tard, je coupe la tige avec une pince coupante (le cutter est à éviter car il provoque une torsion qui peut faire décoller la tige) et je ponce ce qui dépasse.
Une caractéristique du launchpad est d'avoir toute une série de feux de signalisation blanc entourant la rampe élévatrice orange.
Pour permettre le passage de fibre optique ou de LED de 3mm de diamètre, je perce donc les 43 (!!!) trous à la perceuse, d'abord avec un forêt de 2mm puis ils sont élargis avec du 3mm.
Ici un test avec de la fibre optique 3mm
Un trou trop large (j'avais dérapé) est rattrapé avec de la cyano et de la poussière de résine récupérée sur le plan de travail.
Il faut poncer rapidement derrière dès que c'est sec, car quand ce mélange a totalement durci, c'est très difficile à poncer correctement.
Avant de coller la galette, je dois trouver et préparer l'installation électrique des feux de signalisation de la rampe.
En attendant, je nettoie les pièces que je n'avais pas encore touché (rebouchage de bulles, etc.) :
- la plateforme de service
- l'extension du batiment principal et le couloir d'accès.
Invité- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
c'est le kit que tu a acheté qui avait tout ces problêmes de bulles ou c'est tes propres retirages?
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Fetchou a écrit:c'est le kit que tu a acheté qui avait tout ces problêmes de bulles ou c'est tes propres retirages?
J'ai reçu le kit dans cet état.
Comme il est maintenant plus dispo chez James Small, j'ai réussi à en trouver un en seconde main. Et comme je le précisais au début, les moules devaient être très fatigués, car mis à part les bulles, il y a beaucoup de petits défauts de moulage à corriger.
Ces défauts ne m'affolent pas plus que ça sur ce kit, car ses dimensions vont "naturellement" les faire disparaître.
Et puis, j'ai vu nettement pire, et de très très loin, sur les kits de Tony James/Comet Miniatures ! J'ai un gros Sulaco qui vient de chez lui et qui me fait peur dès que j'ose rouvrir la boîte (une fois tous les 2/3 ans à peu près... après je suis calmé, je referme la boîte, et je me trouve un autre sujet !!!).
Invité- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Pour l'éclairage des feux de signalisation, je laisse finalement tomber la fibre optique pour une solution toute simple : une guirlande électrique à 80 LED, tout simplement trouvée dans un bazar. La période de Noël était idéale et tombait à pic dans ce montage
Suivant les plans dans la série, les feux de signalisation semblent différer dans leur forme : arrondie ou (plus difficile à voir avec la luminosité) cylindrique.
Ramené à l'echelle du kit, les arrondies donnent sur du 2 ou 3 mm de diamètre (avec une petite colerette), ou du 3 ou 4 mm pour les cylindrique (sans colerette).
http://www.space1999.net/catacombs/main/cguide/umlaunch.html
Ici le LED de 5mm, à côté du trou de 3mmm prévu initialement pour la fibre optique.
Ils sont donc un poil trop grand, mais vu le gain de temps, je vais m'en accomoder.
Suivant les plans dans la série, les feux de signalisation semblent différer dans leur forme : arrondie ou (plus difficile à voir avec la luminosité) cylindrique.
Ramené à l'echelle du kit, les arrondies donnent sur du 2 ou 3 mm de diamètre (avec une petite colerette), ou du 3 ou 4 mm pour les cylindrique (sans colerette).
http://www.space1999.net/catacombs/main/cguide/umlaunch.html
Ici le LED de 5mm, à côté du trou de 3mmm prévu initialement pour la fibre optique.
Ils sont donc un poil trop grand, mais vu le gain de temps, je vais m'en accomoder.
Invité- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
A ta place j'éviterais ce genre de solution de facilité, d'autant plus que les leds 3mm sont facile à trouver et à remplacer le cas échéant.
Sinon il existe des guirlandes de led 3mm toutes faites:
http://www.bricorama.fr/guirlande/guirlande-15m-120-led-3mm/p5152322_r324.html
Sinon il existe des guirlandes de led 3mm toutes faites:
http://www.bricorama.fr/guirlande/guirlande-15m-120-led-3mm/p5152322_r324.html
DV- Membre Actif
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Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Ca a pas mal avancé sur le lauchpad au cours des 2 dernières semaines
Tout d'abord, les LED :
- Les trous des feux de signalisation sont agrandis à un diamètre de 5mmm à la perceuse pour accepter les LED de la guirlande. Comme la base de l'ampoule est plus large que le LED, et que les quarts de rond en résine présentent pas loin de 2 cm de matière à cet endroit, il a fallu que j'agrandisse le trou sur l'envers avec un forêt de 8 (voir de 10 - je ne sais plus) le LED puisse arriver à la bonne hauteur.
- Evidemment, il y a 2 endroits où j'ai complétement traversé la pièce de part en part, et il a fallu que je rebouche avec un petit rond obtenu avec un emporte pièce sur un chute de résine, installé en force au marteau dans l'ouverture.
DV, les trous étaient faits avant ta réponse, et comme je n'allais pas me lancer dans le rebouchage des 43 petis trous ... (j'en avais marre des petits trous, des petits trous et encore des petits trous... je ne suis pas le poinçonneur des Lilas ... ni l'homme à la tête de choux ;-) )
- Un petit test rapide de la guirlande sur un des quarts du disque central.
Je continue par le disque central :
- sur toutes les pièces du disque, comme les parois et le petit rebord sont à retirer pour permettre la mise en place de l'ascenceur/élévateur, des cales en bois, sur mesure, sont placées sous les quarts de rond pour leur assurer une meilleure stabilité et donc que le coin carré ne s'affaisse pas.
- Les dites parois sont supprimées à la scie à ruban, égalisées à la bande ponceuses, puis les pièces sont ensuite mises en place sur le support cercle en bois avec un bon boudin de la colle utilisée pour les détails en staruroc sur les murs du hangar. Elle sèche en plusieurs heures, donc il est facile de veiller au bon alignement des pièces.
- les parois de l'élévateur sont réalisées à partir de carte plastique de 1mm. Pour assurer un bon maintien des coins du +, je me sers de profilés PVC en L. Je me suis aperçu, après coup lors de la construction du batiment principal il y a plusieurs mois, que ces profilés n'étaient pas à angle droit (un comble !), donc il faut ajouter une petite languette de plastique pour corriger l'angle. Un seul côté du L est collé afin de garder du mou lors des premiers tests de l'ascenceur et de corriger le tir si nécessaire (bien m'en a pris, car ce fut justement le cas pour un coin).
- la partie manquante du disque, sur lequel se place l'extension trapézoïdale du batiment, est réalisée à partir de cales en bois. Du carton épais de 3mm, recouvert de carte plastique de 0,5mm vient s'appuyer sur ces cales et complète le sol du disque. DEs ouvertures sont pratiquées pour assurer un accès à l'intérieur depuis le dessous (éclairage...).
- la paroi de l'ascenceur, qui jouxte ce batiment, nécessite une adapatation afin de permettre la mise en place d'un cache mobile se soulevant quand le mandrin se soulève quand il accompagne la visse centrale du labjack, tout en obturant le trou quand l'ascenceur est descendu au max. Le cache est un simple rectangle de carte plastique bloqué entre 2 glissières (des profilés en H).
- les joints sont ensuite travaillés. Une bonne partie étant masquée par une languette de plastique.
Le batiment trapézoïdal est construit. Comme pour son compagnon, des profilés en L (corrigés par des languettes) assurent un bon maintien. C'est dans ce batiment que se rétracte le couloir d'accès aux aigles. Il sera retractable manuellement (j'aurai bien aimé le mécaniser, mais je n'ai pas envie de me lancer là-dessus). Comme le batiment où il s'insère est vide, il faut donc lui créer une glissière. Elle sera en 2 parties : une haute, collée au plafond, et une basse, placée sur le sol du disque).
Pour le haut, des cales en bois biseautées (car le toit est en pente à cet endroit) sont installées
De la carte plastique collée par dessus,
et des parois ... de nouveau avec des profilés en L.
La partie basse sera créée plus tard, car je me suis ensuite attardé sur la plateforme en +.
Un patron de la plateforme est donc réalisé en retournant tout simplement le disque et en prenant une empreinte du +.
Ce patron est reporté sur une plaque de polystyrène extrudé de 2cm d'épaisseur pour faire des tests.
Avec ce premier rush, j'ai pu faire les premiers vrais tests de fonctionnement du mécanisme, avec le labjack piloté par la visseuse (le labjack a été graissé puis fixé sur sa planche dans le caisson et le + tient simplement avec du scotch double face) :
1- ca va le faire :)
2- le mécanisme est un poil rapide, mais ca reste très acceptable, et le labjack devra être graissé un peu plus pour améliorer la fluidité du mouvement
3- pas besoin de butée finalement (à re-vérifier un fois tout bien en place), c'est pilotable manuellement avec la gachette
4- il y a qq millimètres à corriger sur le patron de la plateforme
5- le coup du test en polystyrène m'a montré que ce matériau devenait un solution simple, lègère, et gardant bien la forme (il ne s'affaisse pas aux bords comme le ferait une planche de plastique ou de bois de même poids). Par contre, c'est difficile à peindre correctement, donc le recouvrerait de carte plastique fine. Le soucis étant de trouver une colle adéquate, car ce matériau est extrémement sensible aux solvants (et ce n'est pas ce qui manque dans une colle). La colle doit aussi ne pas sécher à l'air car il n'y en aura presque pas entre le plastique et le polystyrène (ce qui exclu la colle à bois par exemple). J'ai fait plusieurs tests: la superglue le ronge en profondeur (comme le sang de l'Alien qui traverse les ponts du Nostromo), la colle en bombe n'est pas tendre avec non plus... il me restait de la colle pour plaque polystyrène de plafond, donc testée également, mais il faut une dose conséquente pour que ca adhère, et doit être déposée en noix (et elle s^che aussi à l'air), bref ca ne convient pas avec le sol bien plat que je veux avoir. La colle contact colle bien, et immédiatement (donc sans laisser séché), mais le résultat se dégrade ensuite car le polystyrène se creuse petit à petit sans qu'on le voit, et le résultat final n'est pas plat, même s'il en avait l'air intiatialement ! Après avori tourné en rond quelques jours sur le sujet, je vais tout simplement utilisé du scotch double face (je l'ai eu sous le yeux tout le temps pendant ces tests sans que ca ne fasse tilt avant ce soir !). Une solution alternative est d'utiliser sur carton plume épais, soit déjà recouvert de papier, donc acceptant mieux les colles.
6- dernier constat avec un test du couloir d'accès et un aigle de Product Enterprise, un sérieux problème d'alignement est mis en exergue.
Je n'ai pas utilisé la bonne pièce pour le petit côté du batiment trapézoïdal. Je dois donc retirer les cales, la glissière et lecôté incriminé.
Le kit offrait deux options, et ne sachant faire la différence, j'avais celle qui me semblait la plus logique, malheureusement, ce n'était pas la bonne....
Après une opération de chirurgie finalement assez rapide, les travaux de correction peuvent commencer.
La glissière supérieure a pu être sauvée et est réutilisée sur de nouvelles cales en bois.
Cette histoire me permet également de traiter un point que j'avais oublié : les 2 feux de signalisation aux 2 coins supérieur du petit côté du toit.
Le toit est percé pour faire passer de la fibre optique de 3mm. La pièce du petit mur est très épaisse et doit être rabotter aux angles (face interieure).
La fibre optique est ramolli au briquet pour qu'elle fasse un coude.
La glissière inférieure est rapidement réalisée sur le même principe que la glissi-ère supérieure.
Le batiment principal est collé sur un socle en bois, pour le ramener au même niveau que le disque central.
La plateforme de service rectangulaire est montée sur un support en bois. Des cales en bois assurent un bon maintient des côtés.
Le sol est réalisé en carton épais (3mm)
recouvert ensuite de carte plastique de 0.5mm
Voici quelques photos lors de tests à blanc de l'ensemble au cours des déffirentes étapes présentées dans ce post. Ca commence à avoir un belle tête :)
Dernière avancées : le sol lunaire.
Il est réalisé à l'aide de plaques de polystyrène extudé travaillé au chalumeau (bien aéré la pièce ensuite. J'ai évité d'aérer pendant l'opération, de peur qu'un courant d'air ne souffle la flamme ou ne l'envoie sur moi)
Les plaques de polystyrène sont ensuite découpées aux bonnes mesures. Il est important de ne pas le faire avant car la plaque se rétracte légérement aux bords, et n'est plus à bord francs et rectilignes (premier test à l'appui)
La base lunaire a migrée sur Tatooïne !!! :)
Un effet indésirable est que le polsytène "caramélise" en surface sous l'action de la flamme. Ce qui ne colle pas avec la vision très poussièreuse que nous en avons !
Sur une chute, j'ai fais un premier test en recouvrant le polystyrène d'un mélange de peinture et de sable.
---mode digression ---
Pour être exact, n'ayant pas de sable sous la main, mais que j'ai des sacs de poudre de crépis mural qui me restent sur les bras suite à un ravalement de la maison, j'ai tenté le coup avec. J'avais vu les ouvriers le pulvériser avec de l'eau par un système ressemblant à un pistolet à peinture. Mais en mélange un peu de ce matériau avec de l'eau dans un pot, ca ne se mixait pas. J'ai donc réssayé avec du white spirit, et je me suis immédiatement retrouvé avec de la peinture diluée en surface (la couleur des murs) et une couche de sable au fond.
Bref :
- le crépis, c'est du sable avec de la peinture glycéro !
- Heureusement que ca ne se mixe pas avec l'eau, ca ne serait pas très utile finalement que nos murs coulent à chaque pluie !!!
- les ouviers utilisaient donc l'eau comme un "véhicule", et non comme un diluant. Comme l'air dans un aérographe en quelle que sorte.
--- fin de la digression ;-) ---
Donc, j'ai mélangé du crépis avec de la peinture noire glycéro et j'ai barbouillé ce mélangé pateux et sableux sur une chute de polystyrène caramélisé au chalumeau, et je trouve le résultat plutôt encourageant.
Les photos ne sont pas terribles, car l'appareil avait beaucoup de mal à faire le focus.
Pour finir pour aujourd'hui, les batiments et le disque ont reçu une bonne couche peinture alu et de peinture noir à l'intérieur pour éviter les fuites de lumières des LED.
Tout d'abord, les LED :
- Les trous des feux de signalisation sont agrandis à un diamètre de 5mmm à la perceuse pour accepter les LED de la guirlande. Comme la base de l'ampoule est plus large que le LED, et que les quarts de rond en résine présentent pas loin de 2 cm de matière à cet endroit, il a fallu que j'agrandisse le trou sur l'envers avec un forêt de 8 (voir de 10 - je ne sais plus) le LED puisse arriver à la bonne hauteur.
- Evidemment, il y a 2 endroits où j'ai complétement traversé la pièce de part en part, et il a fallu que je rebouche avec un petit rond obtenu avec un emporte pièce sur un chute de résine, installé en force au marteau dans l'ouverture.
DV, les trous étaient faits avant ta réponse, et comme je n'allais pas me lancer dans le rebouchage des 43 petis trous ... (j'en avais marre des petits trous, des petits trous et encore des petits trous... je ne suis pas le poinçonneur des Lilas ... ni l'homme à la tête de choux ;-) )
- Un petit test rapide de la guirlande sur un des quarts du disque central.
Je continue par le disque central :
- sur toutes les pièces du disque, comme les parois et le petit rebord sont à retirer pour permettre la mise en place de l'ascenceur/élévateur, des cales en bois, sur mesure, sont placées sous les quarts de rond pour leur assurer une meilleure stabilité et donc que le coin carré ne s'affaisse pas.
- Les dites parois sont supprimées à la scie à ruban, égalisées à la bande ponceuses, puis les pièces sont ensuite mises en place sur le support cercle en bois avec un bon boudin de la colle utilisée pour les détails en staruroc sur les murs du hangar. Elle sèche en plusieurs heures, donc il est facile de veiller au bon alignement des pièces.
- les parois de l'élévateur sont réalisées à partir de carte plastique de 1mm. Pour assurer un bon maintien des coins du +, je me sers de profilés PVC en L. Je me suis aperçu, après coup lors de la construction du batiment principal il y a plusieurs mois, que ces profilés n'étaient pas à angle droit (un comble !), donc il faut ajouter une petite languette de plastique pour corriger l'angle. Un seul côté du L est collé afin de garder du mou lors des premiers tests de l'ascenceur et de corriger le tir si nécessaire (bien m'en a pris, car ce fut justement le cas pour un coin).
- la partie manquante du disque, sur lequel se place l'extension trapézoïdale du batiment, est réalisée à partir de cales en bois. Du carton épais de 3mm, recouvert de carte plastique de 0,5mm vient s'appuyer sur ces cales et complète le sol du disque. DEs ouvertures sont pratiquées pour assurer un accès à l'intérieur depuis le dessous (éclairage...).
- la paroi de l'ascenceur, qui jouxte ce batiment, nécessite une adapatation afin de permettre la mise en place d'un cache mobile se soulevant quand le mandrin se soulève quand il accompagne la visse centrale du labjack, tout en obturant le trou quand l'ascenceur est descendu au max. Le cache est un simple rectangle de carte plastique bloqué entre 2 glissières (des profilés en H).
- les joints sont ensuite travaillés. Une bonne partie étant masquée par une languette de plastique.
Le batiment trapézoïdal est construit. Comme pour son compagnon, des profilés en L (corrigés par des languettes) assurent un bon maintien. C'est dans ce batiment que se rétracte le couloir d'accès aux aigles. Il sera retractable manuellement (j'aurai bien aimé le mécaniser, mais je n'ai pas envie de me lancer là-dessus). Comme le batiment où il s'insère est vide, il faut donc lui créer une glissière. Elle sera en 2 parties : une haute, collée au plafond, et une basse, placée sur le sol du disque).
Pour le haut, des cales en bois biseautées (car le toit est en pente à cet endroit) sont installées
De la carte plastique collée par dessus,
et des parois ... de nouveau avec des profilés en L.
La partie basse sera créée plus tard, car je me suis ensuite attardé sur la plateforme en +.
Un patron de la plateforme est donc réalisé en retournant tout simplement le disque et en prenant une empreinte du +.
Ce patron est reporté sur une plaque de polystyrène extrudé de 2cm d'épaisseur pour faire des tests.
Avec ce premier rush, j'ai pu faire les premiers vrais tests de fonctionnement du mécanisme, avec le labjack piloté par la visseuse (le labjack a été graissé puis fixé sur sa planche dans le caisson et le + tient simplement avec du scotch double face) :
1- ca va le faire :)
2- le mécanisme est un poil rapide, mais ca reste très acceptable, et le labjack devra être graissé un peu plus pour améliorer la fluidité du mouvement
3- pas besoin de butée finalement (à re-vérifier un fois tout bien en place), c'est pilotable manuellement avec la gachette
4- il y a qq millimètres à corriger sur le patron de la plateforme
5- le coup du test en polystyrène m'a montré que ce matériau devenait un solution simple, lègère, et gardant bien la forme (il ne s'affaisse pas aux bords comme le ferait une planche de plastique ou de bois de même poids). Par contre, c'est difficile à peindre correctement, donc le recouvrerait de carte plastique fine. Le soucis étant de trouver une colle adéquate, car ce matériau est extrémement sensible aux solvants (et ce n'est pas ce qui manque dans une colle). La colle doit aussi ne pas sécher à l'air car il n'y en aura presque pas entre le plastique et le polystyrène (ce qui exclu la colle à bois par exemple). J'ai fait plusieurs tests: la superglue le ronge en profondeur (comme le sang de l'Alien qui traverse les ponts du Nostromo), la colle en bombe n'est pas tendre avec non plus... il me restait de la colle pour plaque polystyrène de plafond, donc testée également, mais il faut une dose conséquente pour que ca adhère, et doit être déposée en noix (et elle s^che aussi à l'air), bref ca ne convient pas avec le sol bien plat que je veux avoir. La colle contact colle bien, et immédiatement (donc sans laisser séché), mais le résultat se dégrade ensuite car le polystyrène se creuse petit à petit sans qu'on le voit, et le résultat final n'est pas plat, même s'il en avait l'air intiatialement ! Après avori tourné en rond quelques jours sur le sujet, je vais tout simplement utilisé du scotch double face (je l'ai eu sous le yeux tout le temps pendant ces tests sans que ca ne fasse tilt avant ce soir !). Une solution alternative est d'utiliser sur carton plume épais, soit déjà recouvert de papier, donc acceptant mieux les colles.
6- dernier constat avec un test du couloir d'accès et un aigle de Product Enterprise, un sérieux problème d'alignement est mis en exergue.
Je n'ai pas utilisé la bonne pièce pour le petit côté du batiment trapézoïdal. Je dois donc retirer les cales, la glissière et lecôté incriminé.
Le kit offrait deux options, et ne sachant faire la différence, j'avais celle qui me semblait la plus logique, malheureusement, ce n'était pas la bonne....
Après une opération de chirurgie finalement assez rapide, les travaux de correction peuvent commencer.
La glissière supérieure a pu être sauvée et est réutilisée sur de nouvelles cales en bois.
Cette histoire me permet également de traiter un point que j'avais oublié : les 2 feux de signalisation aux 2 coins supérieur du petit côté du toit.
Le toit est percé pour faire passer de la fibre optique de 3mm. La pièce du petit mur est très épaisse et doit être rabotter aux angles (face interieure).
La fibre optique est ramolli au briquet pour qu'elle fasse un coude.
La glissière inférieure est rapidement réalisée sur le même principe que la glissi-ère supérieure.
Le batiment principal est collé sur un socle en bois, pour le ramener au même niveau que le disque central.
La plateforme de service rectangulaire est montée sur un support en bois. Des cales en bois assurent un bon maintient des côtés.
Le sol est réalisé en carton épais (3mm)
recouvert ensuite de carte plastique de 0.5mm
Voici quelques photos lors de tests à blanc de l'ensemble au cours des déffirentes étapes présentées dans ce post. Ca commence à avoir un belle tête :)
Dernière avancées : le sol lunaire.
Il est réalisé à l'aide de plaques de polystyrène extudé travaillé au chalumeau (bien aéré la pièce ensuite. J'ai évité d'aérer pendant l'opération, de peur qu'un courant d'air ne souffle la flamme ou ne l'envoie sur moi)
Les plaques de polystyrène sont ensuite découpées aux bonnes mesures. Il est important de ne pas le faire avant car la plaque se rétracte légérement aux bords, et n'est plus à bord francs et rectilignes (premier test à l'appui)
La base lunaire a migrée sur Tatooïne !!! :)
Un effet indésirable est que le polsytène "caramélise" en surface sous l'action de la flamme. Ce qui ne colle pas avec la vision très poussièreuse que nous en avons !
Sur une chute, j'ai fais un premier test en recouvrant le polystyrène d'un mélange de peinture et de sable.
---mode digression ---
Pour être exact, n'ayant pas de sable sous la main, mais que j'ai des sacs de poudre de crépis mural qui me restent sur les bras suite à un ravalement de la maison, j'ai tenté le coup avec. J'avais vu les ouvriers le pulvériser avec de l'eau par un système ressemblant à un pistolet à peinture. Mais en mélange un peu de ce matériau avec de l'eau dans un pot, ca ne se mixait pas. J'ai donc réssayé avec du white spirit, et je me suis immédiatement retrouvé avec de la peinture diluée en surface (la couleur des murs) et une couche de sable au fond.
Bref :
- le crépis, c'est du sable avec de la peinture glycéro !
- Heureusement que ca ne se mixe pas avec l'eau, ca ne serait pas très utile finalement que nos murs coulent à chaque pluie !!!
- les ouviers utilisaient donc l'eau comme un "véhicule", et non comme un diluant. Comme l'air dans un aérographe en quelle que sorte.
--- fin de la digression ;-) ---
Donc, j'ai mélangé du crépis avec de la peinture noire glycéro et j'ai barbouillé ce mélangé pateux et sableux sur une chute de polystyrène caramélisé au chalumeau, et je trouve le résultat plutôt encourageant.
Les photos ne sont pas terribles, car l'appareil avait beaucoup de mal à faire le focus.
Pour finir pour aujourd'hui, les batiments et le disque ont reçu une bonne couche peinture alu et de peinture noir à l'intérieur pour éviter les fuites de lumières des LED.
Invité- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Tu va avoir une pièce d'anthologie!
Par contre où a tu trouvé de la fibre optique de 3mm?
Concernant le travail du polystirène au lieu d'un chalumeau tu aurai pû utiliser un décapeur thermique. Il n'y a pas de flamme mais le résultat est similaire.
Si ton sol n'est pas assez poussiéreux tu peux augmenter cet aspect en pulverisant du vernis et en saupoudrant soit du sable hyper fin soit de la terre a décor.
Par contre où a tu trouvé de la fibre optique de 3mm?
Concernant le travail du polystirène au lieu d'un chalumeau tu aurai pû utiliser un décapeur thermique. Il n'y a pas de flamme mais le résultat est similaire.
Si ton sol n'est pas assez poussiéreux tu peux augmenter cet aspect en pulverisant du vernis et en saupoudrant soit du sable hyper fin soit de la terre a décor.
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Ah la vache... ça c'est vraiment du tuto.... Super détaille, super illustré.... Ca sent la passion tout ça.....
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Super , beau travail bravo.
Trop tard, mais tu pouvais également placer des petits bouts de fibre optique au dessus des leds sans esquinter ta plateforme... Mais bon c'est pas bien grave au final et encore rattrapable.
Bien vu le système de cache mobile pour planquer le mandrin de la visseuse qui actionne le labjack qui élève ta plateforme.
Prévois tout de même un petit lest pour t'assurer le bon fonctionnement de celui ci.
Dommage que tu ne veuilles pas mécaniser le couloir d'accès mais peut être peux tu l'actionner manuellement en tirant une ficelle avec un petit système de poulies?
La seconde corresponds pas davantage aux modèles de tournage au final ?
Pour éroder le polystyrène en surface ça marche également bien avec un sèche cheveux ou une décapeuse thermique ( selon le type de polystyrène que tu utilises ) et tu peux ainsi aérer ta pièce sans respirer les émanations toxiques pendant le travail...
( ça pue grave le polystyrène fondu )
J'aime bien cette technique car elle donne parfois des résultats intéressants, par exemple en superposant différentes épaisseurs de polystyrène on peu simuler les strates d'une roche et obtenir une érosion réaliste.
Attention le solvant de la glycéro peut attaquer le polystyrène sous la croute "caramélisée" et fragiliser ta surface,
Ayant testé les deux, je préconise la solution de faire un crépis avec de la colle à carrelage en pot saupoudré au besoin de sable tamisé ou gravier selon le type de landscape que je veux réaliser.
)DV, les trous étaient faits avant ta réponse, et comme je n'allais pas me lancer dans le rebouchage des 43 petis trous ... (j'en avais marre des petits trous, des petits trous et encore des petits trous... je ne suis pas le poinçonneur des Lilas ... ni l'homme à la tête de choux ;-)
Trop tard, mais tu pouvais également placer des petits bouts de fibre optique au dessus des leds sans esquinter ta plateforme... Mais bon c'est pas bien grave au final et encore rattrapable.
- la paroi de l'ascenceur, qui jouxte ce batiment, nécessite une adapatation afin de permettre la mise en place d'un cache mobile se soulevant quand le mandrin se soulève quand il accompagne la visse centrale du labjack, tout en obturant le trou quand l'ascenceur est descendu au max. Le cache est un simple rectangle de carte plastique bloqué entre 2 glissières (des profilés en H).
Bien vu le système de cache mobile pour planquer le mandrin de la visseuse qui actionne le labjack qui élève ta plateforme.
Prévois tout de même un petit lest pour t'assurer le bon fonctionnement de celui ci.
Le batiment trapézoïdal est construit. Comme pour son compagnon, des profilés en L (corrigés par des languettes) assurent un bon maintien. C'est dans ce batiment que se rétracte le couloir d'accès aux aigles. Il sera retractable manuellement (j'aurai bien aimé le mécaniser, mais je n'ai pas envie de me lancer là-dessus).
Dommage que tu ne veuilles pas mécaniser le couloir d'accès mais peut être peux tu l'actionner manuellement en tirant une ficelle avec un petit système de poulies?
dernier constat avec un test du couloir d'accès et un aigle de Product Enterprise, un sérieux problème d'alignement est mis en exergue.
Je n'ai pas utilisé la bonne pièce pour le petit côté du batiment trapézoïdal. Je dois donc retirer les cales, la glissière et lecôté incriminé.
Le kit offrait deux options, et ne sachant faire la différence, j'avais celle qui me semblait la plus logique, malheureusement, ce n'était pas la bonne....
La seconde corresponds pas davantage aux modèles de tournage au final ?
Dernière avancées : le sol lunaire.
Il est réalisé à l'aide de plaques de polystyrène extudé travaillé au chalumeau (bien aéré la pièce ensuite. J'ai évité d'aérer pendant l'opération, de peur qu'un courant d'air ne souffle la flamme ou ne l'envoie sur moi)
Pour éroder le polystyrène en surface ça marche également bien avec un sèche cheveux ou une décapeuse thermique ( selon le type de polystyrène que tu utilises ) et tu peux ainsi aérer ta pièce sans respirer les émanations toxiques pendant le travail...
( ça pue grave le polystyrène fondu )
J'aime bien cette technique car elle donne parfois des résultats intéressants, par exemple en superposant différentes épaisseurs de polystyrène on peu simuler les strates d'une roche et obtenir une érosion réaliste.
- le crépis, c'est du sable avec de la peinture glycéro !
Attention le solvant de la glycéro peut attaquer le polystyrène sous la croute "caramélisée" et fragiliser ta surface,
Ayant testé les deux, je préconise la solution de faire un crépis avec de la colle à carrelage en pot saupoudré au besoin de sable tamisé ou gravier selon le type de landscape que je veux réaliser.
DV- Membre Actif
- Nombre de messages : 1800
Age : 56
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Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Merci pour les compliments
Bien vu, je testerai avec le décapeur la prochaine fois.
La fibre de 3mm vient de chez Weber sur Paris : http://www.weber-metaux.com
Effectivement, j'avais bien prévue de la terre à décor grise par dessus le mélange sable+peinture
Bonne idée. Merci du conseil
Bonne idée (je sais, je me répête :) )
Je ne voulais pas me lancer dans un système à crémaillères & co. Avec des poulies, ca me tente. Je vais y réfléchir.
Justement non ! Il y a eu plusieurs modèles différents du launchpad (au moins 3, en ne comptant que ceux constitué d'un disque central), donc je me suis basé sur la doc du kit, qui laissait le choix entre "stock eagle" et "authenticated eagle", que j'ai interprété respectivement en "aigle du commerce" et "aigle de tournage". je suis alors naturellement parti sur le premier, qu'il a donc fallu corriger pour le second.
En fait, je ne sais pas à quoi correspond le premier finalement !
Les 3 kits de launchpad de tournage, avec disque central, se reconnaissent à plusieurs détails :
- disque à bord droit, incliné ou très incliné
- les parois de l'acenceur : blanc+gris ou le même vert que les murs du hangar
- la taille et la forme des feux de signalisation qui entourent le +
- la hauteur du batiment
- les détails de la plateforme de service rectangulaire (dans un des cas, c'est une des plateformes d'entretien du hangar !)
- le côté du batiment avec le fameux bras d'accès
Mes premiers tests n'ont pas posés de problème, mais je ferai attention.
Fetchou a écrit:Par contre où a tu trouvé de la fibre optique de 3mm?
Concernant le travail du polystirène au lieu d'un chalumeau tu aurai pû utiliser un décapeur thermique. Il n'y a pas de flamme mais le résultat est similaire.
Si ton sol n'est pas assez poussiéreux tu peux augmenter cet aspect en pulverisant du vernis et en saupoudrant soit du sable hyper fin soit de la terre a décor.
Bien vu, je testerai avec le décapeur la prochaine fois.
La fibre de 3mm vient de chez Weber sur Paris : http://www.weber-metaux.com
Effectivement, j'avais bien prévue de la terre à décor grise par dessus le mélange sable+peinture
DV a écrit:Bien vu le système de cache mobile pour planquer le mandrin de la visseuse qui actionne le labjack qui élève ta plateforme.
Prévois tout de même un petit lest pour t'assurer le bon fonctionnement de celui ci.
Bonne idée. Merci du conseil
Le batiment trapézoïdal est construit. Comme pour son compagnon, des profilés en L (corrigés par des languettes) assurent un bon maintien. C'est dans ce batiment que se rétracte le couloir d'accès aux aigles. Il sera retractable manuellement (j'aurai bien aimé le mécaniser, mais je n'ai pas envie de me lancer là-dessus).
Dommage que tu ne veuilles pas mécaniser le couloir d'accès mais peut être peux tu l'actionner manuellement en tirant une ficelle avec un petit système de poulies?
Bonne idée (je sais, je me répête :) )
Je ne voulais pas me lancer dans un système à crémaillères & co. Avec des poulies, ca me tente. Je vais y réfléchir.
dernier constat avec un test du couloir d'accès et un aigle de Product Enterprise, un sérieux problème d'alignement est mis en exergue.
Je n'ai pas utilisé la bonne pièce pour le petit côté du batiment trapézoïdal. Je dois donc retirer les cales, la glissière et lecôté incriminé.
Le kit offrait deux options, et ne sachant faire la différence, j'avais celle qui me semblait la plus logique, malheureusement, ce n'était pas la bonne....
La seconde corresponds pas davantage aux modèles de tournage au final ?
Justement non ! Il y a eu plusieurs modèles différents du launchpad (au moins 3, en ne comptant que ceux constitué d'un disque central), donc je me suis basé sur la doc du kit, qui laissait le choix entre "stock eagle" et "authenticated eagle", que j'ai interprété respectivement en "aigle du commerce" et "aigle de tournage". je suis alors naturellement parti sur le premier, qu'il a donc fallu corriger pour le second.
En fait, je ne sais pas à quoi correspond le premier finalement !
Les 3 kits de launchpad de tournage, avec disque central, se reconnaissent à plusieurs détails :
- disque à bord droit, incliné ou très incliné
- les parois de l'acenceur : blanc+gris ou le même vert que les murs du hangar
- la taille et la forme des feux de signalisation qui entourent le +
- la hauteur du batiment
- les détails de la plateforme de service rectangulaire (dans un des cas, c'est une des plateformes d'entretien du hangar !)
- le côté du batiment avec le fameux bras d'accès
- le crépis, c'est du sable avec de la peinture glycéro !
Attention le solvant de la glycéro peut attaquer le polystyrène sous la croute "caramélisée" et fragiliser ta surface,
Ayant testé les deux, je préconise la solution de faire un crépis avec de la colle à carrelage en pot saupoudré au besoin de sable tamisé ou gravier selon le type de landscape que je veux réaliser.
Mes premiers tests n'ont pas posés de problème, mais je ferai attention.
Invité- Invité
Re: COSMOS 1999 : Launchpad
Il est sans doute trop tard vu que tu as utilisé du crépis, mais veux tu de la cendre de cheminée ? J'en ai récupéré qui était grise voire blanche et très fine du coup... Un coup de colle blanche, et hop ?
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